copainscopines
La voix de la radio
Linda
Pour cette deuxième soirée en déplacement dans la capitale, j’avais choisi après un petit restau d’aller sagement me coucher dans ma chambre d’hôtel.
Il était à peine 22 h quand je pénétrais dans les 12 mètres carrés que constituait mon univers du moment.
Je me mis à l’aise et allumait mon ordinateur afin de travailler un peu et de noter les contacts pris dans la journée. Après avoir mis de l’ordre dans mes notes, je jetais un coup d’œil à mes mails privés. Quelques annonces de site de rencontres, quelques spam et deux ou trois réponses à mes annonces libertines..
Une fille m’envoyait une photo de ses seins, une autre ses cuisses ouvertes.
Mais rien de très sérieux. J’éteignis l’ordi et décidait d’aller fumer une cigarette.
J’enfilais un pantalon une chemise et mes chaussures. Attrapais mes clopes et ma clé de chambre et descendit.
Le patio de l’hôtel était une cours intérieure ou depuis l’interdiction de fumer dans les lieux publics, se retrouvaient à toute heure les fumeurs. L’endroit était quasiment vide. Un monsieur d’une cinquantaine d’années en costume parlait à une jolie et grande brune. A mon arrivé l’homme me salua et s’éclipsa rapidement.
La jeune femme malgré des ballerines sans talons mesurait une bonne dizaine de centimètres de plus que moi. Elle portait une jupe courte noire sur des jambes interminables et impeccablement gainés de nylon. Un chemisier noir cintré mettait ses petits seins très en valeur. Une veste de laine couvrait ses épaules pour la protéger du froid. Son visage plutôt fin était encadré par des cheveux noirs coupés au carré et de grandes créoles argentés.
J’allumais ma cigarette tout en lui souriant. Lorsqu’elle m’adressa la parole, je fus surpris par sa voix grave et douce. Elle s’appelait Linda et était actrice. Comme je la félicitais sur son physique, elle me précisait la spécificité de son métier. Elle n’utilisait que sa voix, dans des spots radios ou des bandes annonces. En l’écoutant parler, j’étais effectivement sous le charme. Lorsque je lui proposais de poursuivre notre conversation devant un verre, elle rit avant d’accepter. Installé au bar de l’hôtel, je lui avouais être libertin. J’étais très surpris par son ouverture d’esprit et me laissais aller à plus de confidences. Je lui parlais de ma bisexualité et même de certaines de mes rencontres.. Linda vida son Martini d’un trait et me souffla à l’oreille qu’elle était fatiguée et que nous pourrions poursuivre cette conversation dans la chambre 312.
Je senti immédiatement mon sexe gonfler dans mon pantalon.
Après les dix minutes qu’elle m’avait demandées pour se rafraichir, je tapais à la porte de sa chambre. Linda s’était changée. Elle portait une nuisette ivoire au travers de laquelle je pouvais apercevoir une culotte en dentelle noire. La nuisette rehaussait merveilleusement ses petits seins. A sa vue mon érection repris instantanément.
Ma belle s’approcha de moi pour m’embrasser. Son parfum m’enivra. Elle s’était préparée en tout point. Elle me prit la main et m’entraina sur le lit. Mes mains attrapèrent ses anches étroites et glissèrent sur ses fesses rondes les siennes m’enserraient la taille et cherchaient ma ceinture. Ses mains expertes défirent mon pantalon et firent surgir mon sexe gonflé. Sans hésiter, elle l’englouti dans sa bouche tout en prodiguant des caresses expertes à mes fesses et à mon anus. J’étais en transe. La repoussant légèrement, je la relevais afin de pouvoir profiter de ses seins.
Petit et fermes ils réagirent vite à mes caresses. Je fis glisser sa nuisette sur ses épaules et lui dénudait le torse. Lorsque ma bouche engloutie son mamelon elle soupira de plaisir. Je me reculais pour admirer son corps parfait. Et la une surprise m’attendait sa culotte avait gonflée, et il ne me fallut pas longtemps pour comprendre ce qu’elle cachait. D’un doigt, je lui fis signe de se taire et fit glisser le sous vêtement sur ses fesses. La sexe d’homme qui en sorti était totalement glabre. Plutôt petit, bien proportionné. Je le caressais comme un petit animal me baissait et le léchait légèrement avant de le prendre dans ma bouche. Je renversais Linda sur le lit. et reculait pour reprendre mes esprits. J’avais en face de moi, un de mes fantasmes les plus anciens. Elle releva les jambes contre sa poitrine me montrant son cul et me demanda de la prendre. Ma langue vint appuyer contre sa rondelle en cercles répétés jusqu’à ce que le passage s’ouvre. J’introduisis un index humide entre ses fesses. Linda me dit d’attraper un des préservatifs qu’elle avait préparé sur la table de nuit. J’y trouvais également un sachet de lubrifiant que j’ouvrais et partageait entre mon sexe gainé de latex et son anus distendu. Ma bite glissa en elle m’envahissant de plaisir. Son sexe gonflé tapait sur mon ventre, mes mains caressaient ses seins et nos langues s’entremêlaient. Quand Linda cria, les yeux révulsés, j’attrapais sa bite avec ma main qui éjacula abondamment sur mon ventre.
Je jouis à mon tour, me vidant de toute énergie..
Le lendemain en me réveillant, dans ma chambre je me demandais si je n’avais pas rêvé. C’est lorsque le réceptionniste me remis le petit mot de Linda que mon sourire revint. Linda me remerciait pour la soirée et me donnait un contact d’un attaché de presse que je lui avais demandé.
Julien
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Jolies jambes
Le midi au soleil |
Un peu de soleil et les jupes racourcissent. Le printemps est vraiment une belle saison.
envouyez moi vos contributions: textes, photos volés ou exhib.
Julien
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Une soirée inatendue
une photo volée devant l'ascenceur de l'hôtel le matin |
La semaine dernière j’étais en déplacement à Lyon.
Il faisait encore très froid pour un mois de Mars.
Le programme n’était pas très réjouissant. Une journée de travail, un repas d’affaire, une soirée seul à l’hôtel et encore une autre journée de travail avant de rentrer.
La soirée à plutôt bien commencée avec un repas d’affaire dans un bouchon Lyonnais typique. La conversation était ennuyeuse et un peut trop coincée mais la nourriture et le vin excellents. Mon hôtel étant à 10minutes à pieds, j’en profitait pour fumer une cigarette. Les rues étaient désertes, même dans ce quartier plein de restau.
.Peut être à cause du froid ou du match de foot de Lyon.
En tous cas en arrivant à la réception de l’hôtel, il était environ 22 heures. Le réceptionniste de nuit s’était absenté. Trois filles discutaient dans le salon et la télé diffusait la fin du match. Je me dirigeait vers la barman qui ne pu que me dire d’attendre le réceptionniste. Je commandais donc un verre et m’installait à une table face au téléviseur à coté des filles. Rentrer seul dans ma chambre ne me disait rien.
Les filles attendaient aussi leurs clés et nous entamèrent rapidement la discussion.
Elle venaient pour deux d'entre elles de Paris, la troisième était de Toulouse.
Elles étaient en formation dans une société de consulting.
Toutes les 3 très mignonnes, les 2 Parisiennes sont montées se coucher avant la fin du match.
La Toulousaine, à proposé de rester me tenir compagnie, ce que j'ai naturellement accepté.
Environ 1,60, Brune, mince. Elle portait un jean qui moulait bien ses petites fesses, un cache cœur crème et des bottes lacets à l'arrière.
Elle s'appelait Sorina et était d'origine roumaine.
Ses copines parties, elle est venue s'installer sur la banquette à coté de moi. Quand le match à été fini, elle m'a sauté au coup. J’en ai profité pour l'embrasser.
Elle c'est reculé m'a souris, est m'a dit de récupérer ma clé et de la rejoindre au deuxième étage. puis elle s'est levé et est montée dans l'ascenseur.
J'ai récupérer ma clé et pris l'escalier à toute vitesse.
Elle m'attendait dans le couloir sa clé à la main..
Des la porte de la chambre passé nous nous somme embrassé passionnément.
Elle portait des sous-vêtements en dentelle blanche très simples mais qui mettait divinement son corps en valeur. Mes mains couraient sur sa peau. Ma langue dévorait le lobe de ses oreilles.. Ses mains saisirent fermement mes fesses. Quelques instants plus tard après ce qui me paru être un tourbillon nous nous retrouvèrent nus allongées sur le lit. Ma main fouillait son sexe quand aux siennes, elles semblaient obsédées par mes fesses. Je fit descendre ma bouche le long de son ventre jusqu'à sa toison finement taillée. Ma bouche aspira son clito. Son corps se cambra comme pour me l’offrir encore plus. Je fis jouir Sorina avec ma bouche et mes bras, alors qu’elle me suppliait que je la prenne. Puis la laissant allaitante allongée sur le ventre je me levais, fit le tour du lit et lui introduisit mon gland dans la bouche. Elle se jeta dessus voracement. Je la repoussais pour faire durer le plaisir. A ce moment, elle prit le contrôle, me renversa sur le lit et vint me chevaucher. Je jouis rapidement, trop excité par ces préliminaires.
Alors que je sortais de la douche, elle vint me rejoindre dans la salle de bain.
Il nous reste une capote, me dit-elle. Elle m’attira contre elle. Elle s’assit sur le lavabo les jambes écartes encore luisantes du plaisir qu’elle avait pris. Mon sexe repris aussitôt de sa vigueur et je vint directement en elle. Cette étreinte debout fut longue et intense. Ses mains malaxaient mes fesses. Et me poussaient toujours plus profond en elle. Nous pûmes enfin jouir ensemble.
Elle m’invita à rejoindre ma chambre et à rester discret.
Le lendemain matin, il neigeait sur Lyon au mois de Mars. Je la croissait en sortant de la salle du petit déjeuner. Nous échangeâmes un sourire et rien d’autre. Peut être ne reverrais je jamais Sorina.
Les toilettes du grand magasin ! par Julien 94
Le beau julien 94 |
Moi c’est Julien pour ceux qui ne me connaissent pas, j’ai 28 ans grand fin plutôt mignon d’après les dire et également plutôt bien gâté par la nature pour mon entre jambe, toujours d’après les dire bien sur !
Ça s’est passé un jeudi soir je devais faire quelques courses à la Samaritaine à Paris, j’y suis allé après mon travail. C’est connu comme dans beaucoup de grands magasins Parisiens, ça drague souvent dans les toilettes, mais je n’avais jamais vérifié ceux de ce magasin.
J’avais lu sur le net que lorsque ça draguait, c’était au aux toilettes du troisième. En passant à cet étage je suis donc rentré dans ces wc !
Deux hommes étaient là, un qui se lavait les mains et un aux urinoirs. Je me suis avancé et j’ai vu que les cabines étaient quasiment toutes prises, verrou sur le rouge ! Ce sont des cabines avec des portes qui laissent voir le sol et le plafond. Je me dis à moi-même que c’est loin d’être discret et que certainement rien ne se passe ici.
L’avant dernier wc se libère, je prends la place du mec qui en sort. Je commence à pisser normalement et là sous la cloison de droite, je vois une main passée, paume vers le haut. Je comprends qu’ici ça doit être comme ça la technique de drague. Je baisse mon pantalon en bas de mes chevilles et je me baisse face à cette cloison et cette main tendue. La main s’avance, le mec a un bras musclé, il prend ma teub en main et commence à me branler pour la faire gonfler.
Ça marche très bien, l’endroit, le coté insolite et invisible du partenaire m’excite à mort. Il continue à me branler et je n’ose pas faire de bruit, peur de gémir et de me faire entendre des autres mecs qui sont peut être là juste pour pisser ! Il commence à tirer sur ta teub comme pour l’approcher de lui, je comprends qu’il a envie d’y goutter. Je me mets plus à l’aise et je me pose à genou le plus proche possible de la cloison qui nous sépare, laissant ma teub dépassée de l’autre coté.
A ce moment précis, j’ai sentis sa bouche chaude et bien mouillée se glisser sur mon gland et long de ma tige, grosse bouche gourmande qui a enfilée ma teub jusqu’au bout. La pipe était un vrai délice, le mec m’a sucé à fond comme un malade. Je sentais ma teub grossir et prête à cracher, j’ai poussé un léger gémissement en voulant me retirer et il a arrêté de pomper pendant quelques secondes.
J’ai senti ses doigts sur mon gland, il était en train d’enfiler une capote sur ma tige, je ne pouvais pas le voir puisque j’étais collé contre la cloison qui nous séparait. J’ai senti qu’il était en train de poser son cul sur ma tige dressée, il s’est enfilé doucement mais sans s’arrêter puis il a commencé des petits va et viens. La position n’étant pas des plus confortables, il s’est retrié puis s’est allongé sur le sol de sa cabine en faisant passer ses jambes par-dessous la cloison dans ma cabine. J’avais ses jambes et sa teub à ma portée, super « bas » de mec, super teub bien dressée et bien grosse et beau petit cul. Je lui relevé ses jambes sur moi et j’ai commencé à le baiser, bien à fond, c’était super bon, pour le coup lui n’a pas su rester discret et il poussait des petits gémissements. C’était super excitant.
Je n’ai pu me retenir très longtemps et après de bons va et viens intenses, j’ai craché dans son petit trou, moi aussi sans pouvoir me retenir j’ai poussé des gémissements en donnant les derniers coups de reins.
Je me suis relevé, puis habillé. Je suis sorti de ma cabine, je suis allé me laver les mains, il y avait toujours le même mec aux urinoirs, en me lavant les mains mon regard s’est posé sur lui, pas mon style mais il était en train de se masturber et sa teub était assez alléchante. Mais j’en avais assez. Avant de sortir la cabine dans laquelle était mon partenaire s’est ouverte et le mec est sorti, le haut était aussi sympa à voir que le bas ! J’étais ravis et j’ai continué mes courses tranquilles
Le retour du soleil
Le Soleil est enfin de retour.
Comme j’ai un peu de temps entre deux rendez vous, je me suis installé à la terrasse d’un café pour travailler sur mon ordinateur. Je n’ai pas vu la jeune femme s’installer à la table en face moi. Elle porte de grandes lunettes de soleil qui lui mangent le visage. Ce sont ses jambes que j’ai remarqué en premier, deux longues jambes fuselés gainés dans du nylon se terminant sur des escarpins noirs. Elle est habillée d’une jupe droite de tailleur et de la veste assortie ouverte sur un tee-shirt immaculé.. Je ne peu pas m’empêcher de sourire dans sa direction. Elle me rend mon sourire et je me remets au travail.
Après avoir trié mes mails et répondu aux plus urgents, je relève la tête et m’intéresse à mon café. Je suis surpris car elle a détaché ses cheveux. Son regard est dirigé vers le livre posé sur la table. Elle se tortille sur la chaise, croise et décroise les jambes. Sa jupe remonte légèrement et j’aperçois le haut des ses bas et la naissance de ses cuisses, entre deux mouvements. C’est pour moi un ravissement. et je n’en perd pas une miette. Elle se penche en avant comme captivée par son roman. Ses fesses glissent vers l’avant et sa jupe remonte encore. Sa position ne me permet pas de voir grand-chose et je suis au supplice. Puis d’un coup, elle se rejette en arrière et entrouvre légèrement les jambes. Pour mon plus grand bonheur, j’aperçois ses cuisses et la dentelle noire qui couvre son sexe.
Elle croise mon regard et referme les cuisses en rougissant. Je suis gêné mais lui accorde un grand sourire. Contre toute attente, elle me sourit alors à son tour, penche la tête vers son livre et comme si de rien n’était commence à lentement écarter les jambes, très lentement. Elle me dévoile alors l’intérieur de ses bas, puis le haut de ses cuisses et enfin sa petite culote. Je suis de plus en plus excité par cette inconnue qui s’exhibe ainsi devant moi. J’aperçois ses yeux qui m’observent par-dessus ses lunettes. Elle me sourit encore puis se lève et entre dans le café.
A son retour, je n’ai toujours pas repris mes esprits. Elle s’assoit sagement et reprend sa lecture. Comme je commence à me dire que le spectacle est finit. Elle appelle le serveur pour lui demander du feu pour allumer sa cigarette. Je suis un peu déçut qu’elle ne me l’ais pas demandé. Tout en fumant et tournant la page de son livre, elle recommence son mouvement consistant à faire remonter sa jupe. Quand elle la juge suffisamment remontée, elle décroise les jambes à nouveau. Les écartes comme la première fois, lentement. Le spectacle toujours identique me déclenche une érection que mon pantalon de costume à du mal à cacher. Arrivée à ses cuises, je m’attends à contempler sa dentelle mais il n’u à plus rien. Et mes yeux admirent son sexe. Il a l’air si doux, si bon, Je rêve de le sucer. Sa chate est lisse et surmontée d’une couronne pubienne finement taillée.
Un couple s’assoit à la table voisine de la mienne et mon inconnue referme son trésor. Elle se lève, jette quelques pièces sur la table et viens vers moi.
Sa main se pose sur son épaule
- « Je vous laisse à votre travail, peut être à une autre fois »
Elle glisse quelque chose dans la poche de ma veste et s’en va.
Je prie pour que ce soit son numéro de téléphone, Je me lève. Elle à déjà tournée au coin de la rue. Elle à disparu. Je fouille ma poche et un peu déçut en sort un string en dentelle noire. Je le porte à mes narines. Son odeur réveille mon érection. Je me rassois pour commander un autre café. Je dois me calmer avant mon rendez vous.
Je viendrais plus souvent dans se quartier c’est certain.
J’aime le retour du soleil.
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Ah voila une belle soirée bien sympa au plaisir d'en decouvrir d'autre